Originaire d’Oran en Algérie, la famille Sénéclauze s’est enracinée en Provence dès 1962 après un détour par le Médoc.
A la fois propriétaires de domaines viticoles et spécialistes de la distribution de vins fins, les Sénéclauze cultivent le goût d’entreprendre, l’amour de son métier et la vision à long terme.
L’histoire de famille commence à Oran en 1890 où Théodore Sénéclauze, tout juste âgé de 20 ans, monte une affaire de négoce de vins novatrice. Son idée ? Vendre du vin en barriques par correspondance. Théodore Sénéclauze est sans doute le premier à avoir lancé ce système de distribution... qui connaît rapidement le succès. Bientôt la Maison Sénéclauze se spécialise dans la sélection de grands vins d’Algérie et particulièrement d’Oranie.
Comme les affaires prospèrent, le fils de Théodore, Pierre, décide d’investir dans un domaine de prestige à Bordeaux. En 1935 il fait l’acquisition du Château Marquis de Terme à Margaux, Grand Cru Classé en 1855.
En 1962 la famille Sénéclauze quitte l’Algérie pour s’installer à Marseille. C’est donc en Provence que les affaires familiales continuent leur développement. La Maison poursuit ses activités de distribution de vins d’Algérie en ajoutant à sa gamme des vins du Sud de la France.
L’attachement à la Provence est confirmé par l’acquisition en 1991 du Domaine de Val d’Arenc au cœur de l’appellation Bandol. Bandol, le grand cru de la Provence... des vins intenses, de garde, qui font rêver tous les amateurs.
En 2007 le Domaine de Lauzade en Côtes de Provence rejoint la famille. Longtemps la Maison Sénéclauze en a distribué les vins. Elle connaît donc le domaine de façon intime. Quand se présente l’opportunité d’en devenir acquéreurs, Pierre-Louis et ses frères, représentants de la troisième génération, n’hésitent pas.
2009 marque un nouvel élan avec l’arrivée de Julia Sénéclauze à la tête de la communication des propriétés provençales. Avec elle c’est la quatrième génération de Sénéclauze qui s’implique dans l’entreprise et perpétue l’esprit de famille.